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Sat 6 Jun 2020 11:53PM

Sujets à controverses : démystifions les boucs émissaires et solutions miracles

MB Mehdi B. Public Seen by 191

R

Revest Thu 11 Jun 2020 10:57AM

Là aussi il nous est indispensable de sortir des schémas de penser dominants en matière d'énergie et de nucléaire.

En matière nucléaire la question n'est pas en premier technique. Ca ce sont les sachants, experts et autres technophiles qui nous ont mit dans le mur depuis la fin de la seconde guerre mondiale qui tentent de nous enfermer dans cette approche afin de conserver leur pouvoir technocratique et que rien ne change et continuer à fabriquer leur bombinette, leurs armements atomiques, leurs avantages multiples de statuts et de financements, leur droit à parole d'autorité publique, etc...

Si nous souhaitons vraiment aborder les questions il nous fait partir en permanence de l'humain et du biotope commun. Et non nous inscrire dans l'ordre établit par ceux que nous voulons chasser de nos vies.

( Sur le nucléaire : deux sites internet intéressants, l'un ressource avec interviews de scientifiques, médecins, victimes, cartes,etc... www.m-c-c-a.org , l'autre sur l'actualité des méfaits, des problèmes permanents de l'activité atomique, des luttes en région sud-est : www.coordination-antinucleaire-sudest.org )

La question nucléaire est une question première sanitaire et de santé publique. Il n'existe pas de seuil de radioactivité en-dessous duquel il y aurait pas d'impact sur le vivant, la santé (les normes sont fixées par chaque pays en fonction du poids du lobby nucléaro-militaire dans le pays concerné. Ainsi les normes théoriques au Canade ne sont pas les mêmes qu'en France ou aux USA).

Chaque jour, chaque heure le nucléaire c'est :

. des rejets quotidiens de radio-contaminants dans l'air et dans l'eau des rivières et océans qui impactent les structures organiques et les détruisent,

. des milliers de becquerels (radioactivité) qui impactent la santé et la vie, d'iode c'est la thyroïde, alors que les autres radio-éléments se fixent et impactent, quant à eux : le foi, le coeur, le cerveau, les tissus mous, le squelettes et les os, le pancréas, la prostate, les gonades, les ovaires, la peau, ...

. le réchauffement climatique par le réchauffement des cours d'eau des rejets des eaux chaudes ayant servies au refroidissement des réacteurs atomiques qui impactent la faune et la flore aquatiques, par la production délirante de vapeur d'eau qui est, selon le Giec, le principal composant des Gaz à effet de serre (GES) impactant le climat

. la production de déchets mortels radioactifs pour des centaines de milliers d'années et dont ils ne savent pas quoi faire (1% seulement est recyclé) et dont les plus grands scientifique du CEA (Commissariat à l'Energie Atomique - France) n'ont cessé depuis les années 1960 d'affirmer qu'il allait trouver la solution du retraitement et de leur disparition,

. des milliers de transports par routes, rails, bateaux fonctionnant au gaz oil et fuel lourd (CO2) de la mine d'extraction à la prise de courant en passant par la fabrication chimique du yellow-cake, la transformation en UF4 et UF6, l'enrichissement dit civil ou militaire, la fabrication des pastilles de produits de fission atomique et celles des crayons géants engloutis dans le coeur des réacteurs, le conditionnement de l'uranium usé et son stockage en des dizaines de lieux disséminés sur le territoire,

. une exploitation néocolonialiste des travailleurs dans les mines au Niger et au Kazakhstan avec des centaines de contaminés par le radon et autres radiations, des territoires africains et asiatiques contaminés à vie (à mort),

. le procédé le plus idiot et néfaste pour faire chauffer de l'eau car la destruction atomique opérée dans les réacteurs nucléaires ne produit pas d'électricité mais de la vapeur d'eau sous pression (Générateur de vapeur) qui est conduit vers une grosse turbine (telle une dynamo de vélo) qui, elle, va sortir un peu d'électricité (un peu car le rendement du cycle nucléaire complet n'est que de 30% soit pas plus que le photovoltaïque ou d'autres ENR) avec en moins encore 3% de perte en ligne du fait d'un système centralisé et distants entre lieux de production et lieux de consommation,

Que le pro-nucléaire de longue date Jancovici occupe le terrain médiatique tout comme le sieur du Giec Jouzel (qui a fait toute sa carrière au CEA) relève de la stratégie du lobby nucléaire de continuer à nous enfermer dans leur dogme de domination/compétition et de vouloir nous faire croire que le nucléaire serait la solution au réchauffement climatique alors qu'il est le problème non seulement par ce que fondement de l'ordre capitaliste dominant mais aussi par qu'il empêche toute solution d'envergure de rupture écologique de préservation de la vie.

Le nucléaire absorbe plus de 80% des budgets consacrés en France à la recherche publique (cf : grand emprunt de Sarkozy). Tant que le nucléaire (civil et militaire) existe il ne peut y avoir de véritable transition écologique.

Bien d'autres choses pourraient être dite sur la destruction atomique nommée pudiquement et manipulatoirement "nucléaire".

V

Vincent Thu 11 Jun 2020 12:11PM

Merci @Revest C'est la liste des critiques que l'on fait sur l'usage du nucléaire que je connais assez bien. Mais ça ne répond pas à la question. (Si personne ne peut extraire les arguments de la vidéo, je le ferai plus tard.) Apparemment tu n'as pas considéré que cette vidéo avait de la valeur, sans doute à cause de ton aversion pour Jancovici. Un sentiment que je partageais il y a encore peu de temps.

Mais le fait est que quand le nucléaire sera à l'arrêt, on n'aura toujours pas sorti le cul des ronces.

Ainsi, le nucléaire n'est pas ma priorité et je préfère le considérer comme un élément dans l'équation (en particulier celle de l'énergie/consommation/production/GES ). En revanche dans le domaine du nucléaire même, la priorité c'est de sécuriser l'exploitation (et la gestion libérale a fait d'énormes dégâts). Et pas pour les pérenniser plus que strictement nécessaire ou faire d'autres installations.


MB

Mehdi B. Thu 11 Jun 2020 7:35PM

Merci Vincent. C'est la raison pour laquelle j'ai créé ce sujet.

Dans la gauche française c'est installé une lutte venant de la fin de la seconde guerre mondiale. Au départ légitime car anti armement, elle continue son chemin en faisant du nucléaire son ennemi numéro un, quitte à ne pas voir qu'il est une meilleure alternative (et pas juste la solution parfaite) à la pollution au gaz à effet de serre.

C'est un peu l'effet terrorisme : on se met à accepter l'état d'urgence et les perquisitions sans mandats pour une centaine de morts, sans réfléchir à l'intérêt ni même au risques encourus par rapport au risque duquel on veut se protéger.

R

Revest Thu 11 Jun 2020 10:17PM

J'aurais aimé que Murazaki ou Vincent portent attention honnêtement à ma contribution sur le sujet qu'ils lançaient, plutôt que de jouer de la dérision et vouloir nous ramener dans les griffes de leur gourou.

Jancovici, peut-être que certain-es aujourd'hui le découvre, mais c'est un vieux ringard qui hante les couloirs de la nucléocratie depuis des décennies. Un vulgarisateur de la propagande pro-nucléaire dont les idées sont loin d'être neuves et novatrices. Pour qui se penche sur le crime nucléaire depuis 25 ans , comme moi, franchement perdre son temps à se placer dans le cadre idéologique dominant de la technostructure nucléariste n'a rien du "temps d'après" ni du nouveau monde que nous souhaitons construire.

Désolé pour ceux qui souhaitent nous abreuver de la prose nucléariste mais :

1) rejeter en bloc les informations et arguments contre le nucléaire et son monde en arguant qu'avec le nucléaire "on n'aura toujours pas sorti le cul des ronces" : c'est un peu court et discourtois. Mais effectivement on ne sortira jamais plus du nucléaire du fait des déchets produits quotidiennement et qui s'accumulent mortellement pour des centaines de milliers d'années. Arrêter immédiatement le nucléaire nous garantira au moins de l'arrêt d'une fuite en avant et d'un écocide sordide,

2) passer sous silence les 60 millions de morts dû au nucléaire depuis les premiers essais atomiques et les 2300 qui ont suivi, après les bombes atomiques larguées sur les populations civiles de Hiroshima puis de Nagasaki, au terme de 60 années d'industrie atomique pseudo civile, avec les catastrophes nucléaires de Three Miles Island, Mayak, Tchernobyl, Fukushima-Daïchi (étude européenne du CERI) : n'est pas un peu court mais simplement horrifiant pour qui souhaite se fédérer,

3) reprendre la vieille litanie des productiviste ouvriériste et le mythe du nucléaire sécurisé ou sécurisable est dépassé depuis vingt ans déjà. Avec la destruction nucléaire : ou c'est 100% (et ce n'est pas possible) ou ça ne l'est pas. Les salariés du nucléaire feraient mieux de se battre auprès de leur direction (et ils sont déjà nombreux) pour leur reconversion professionnelle plutôt que de s'aligner sur leur patronat. ( Pour répondre à la divagation de Murazaki à propos de ma contribution "C'est un peu l'effet terrorisme : on se met à accepter l'état d'urgence et les perquisitions sans mandats pour une centaine de morts" je dirais que les pro-nucléaires c'est un peu l'effet syndrome de Stockholm ou la victime en vient à aimer son bourreau).

4) oser affirmer que le nucléaire est une alternative à l'écocide ne manque pas de piment, certes un peu sordide pour les victimes mais très très, comment dire, relevé.

Le nucléaire c'est du passé, c'est dépassé, toutes les alternatives techniques existent et sont mises en oeuvre un peu partout sur la planète. Les pays nucléarisés sont une (minime mais nocive) aberrante exception. La part du nucléaire dans le monde au niveau des énergies ne cesse de décroître.

Ceci est ma dernière intervention sur ce thème jancovinien et pro-nucléaire car j'ai trop souvent entendu et été confronté à ce type de discours lors de débats et rencontres multiples depuis 25 ans pour ne pas replonger dans l'éculé. Je ne souhaite pas permettre non plus au trolls pro-nucléaires d'alimenter leur désarroi face à un mouvement inéluctable de disparition de leur vieux monde encensant leur dieu atome et leur sacro-sainte destruction atomique morbide. Continuez à blablater entre-vous mais sans moi. Amen.

MB

Mehdi B. Thu 11 Jun 2020 10:41PM

Parler de dogmes et de rejet en bloc pour démonter les arguments des autres quand on ne fait que réutiliser les bombes nucléaires pour dénigrer tout un pan de la physique sans même avoir une once de modération, c'est culotté.

Je ne connais pas Jancovici personnellement. J'ai une vision du nucléaire qui me vient de bien d'autres réflexions. J'y ai vu un risque pour l'humanité aussi. Mais j'ai surtout vu que son rendement écrase toutes les alternatives, et que son taux d'accident, de déchets et de pollution est si bas au Wh que même l'éolien ne fait pas le poids.

Moi aussi j'aimerai qu'on puisse tous vivre grâce à l'énergie du vent et du soleil. En attendant on meurt de pollution pétrolière et de chaud. Il est bon de connaître ses priorités quand on œuvre pour le bien commun.

SS

Sophie Sainte-Marie Thu 11 Jun 2020 11:17PM

Mes priorités, depuis l'âge de 8 ans, sont clairement anti-nucléaires. On choisit souvent nos références en fonction de nos hypothèses de base, de nos à priori. C'est probablement ce que j'ai fait. Nous ne tomberont probablement donc jamais d'accord, les pros et les anti nucléaires.

Mais il y a une chose que je ne peux pas laisser dire, c'est que "en attendant, on meurt de pollution pétrolière et de chaud". Non, ça c'est une vérité parcellaire. Autrement dit, on meurt "aussi" de pollution et de chaud, mais dans le monde, on meurt (de faim, de la rougeole, du Sida, du paludisme et) "aussi" des nombreux cancers qui viennent, entre autre, des émissions radio-actives.

La radio-activité permet des choses incroyables, y compris pour les examens cliniques, mais les déchets nucléaires ne sont, par définition, pas biodégradables. C'est pourtant tellement simple à comprendre : votre énergie d'aujourd'hui sera la mort des générations futures. Préserver le présent qui dure peu en promouvant le nucléaire, c'est condamner les générations futures pendant longtemps.

V

Vincent Fri 12 Jun 2020 11:12AM

Je ne souhaitais pas être discourtois, cette expression est populaire et ne t'était adressée. Tu n'es en revanche pas avare en attaques personnelles.

Quand je parle de priorité, je mets ce sujet du nucléaire civile en relation avec tout un tas de maux dont la liste est longue et dont les effets sont aujourd'hui sans commune mesure avec l'usage du nucléaire : La pollution chimique (air, eau, terre,...), le chômage, les accidents de la route, et que sais-je encore...

Avec cette perspective, le sujet du nucléaire prend une place démesurée par rapport aux conséquences actuelles et à venir.

La part d'énergie nucléaire utilisée en France c'est 17% de l'énergie finale. Et les énergies fossiles, responsables direct des GES, représentent plus de 60% de l'énergie consommée.

Ton accident nucléaire a une probabilité infime d'arriver (et je vie à un endroit où les pastilles d'iode nous sont distribuées) mais les conséquences du changement climatique sont une certitude. Ce sont des milliards de personnes qui vont se retrouver dans des zones inhabitables.

Je soutiens la lutte à Bure, j'ai soutenu les militants greenpeace lorsqu'ils ont fait leur feu d'artifice. Faudrait voir à pas mettre tout le monde dans le même sac. C'est bien "Se Fédérer" ici ?

R

Revest Thu 11 Jun 2020 10:47PM

Pour réfléchir aux sciences et à la technologie : un très bon support "sciences critiques" dont voici quelques thèmes de réflexions (loin du qualificatif "dogmatique" dont je me vois affublé ici). « La science est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des seuls savants. » (Carl E. Sagan):

Penser les technosciences

> Pourquoi et comment être "critique de science" ?. Une tribune libre de Jacques Testart.
> La recherche et les technosciences en débat. Une conférence organisée par la rédaction.
> Penser ce que nous faisons. Un texte de Hannah Arendt.

Démocratiser les sciences

> "Il n'y a pas de maîtrise démocratique de la science". Un "Grand Entretien" avec Jean-Marc Lévy-Leblond.
> "Les débats scientifiques peuvent être instrumentalisés". Un "Grand Entretien" avec Stéphane Foucart.
> De quelle culture scientifique parlons-nous ?. Une tribune libre de Jérôme Santolini.

Critiquer la recherche scientifique

> Allons-nous continuer la recherche scientifique ?. Un discours d'Alexandre Grothendieck.
> Ce monde qui n'est plus le nôtre. Une tribune libre de Philippe Godard.
> Pour en finir avec le dogme de l'Immaculée Conception de la science. Une tribune libre de Daniel Cérézuelle.

Responsabiliser les chercheurs

> Où va la science ?. Une tribune libre d'Anne-Laure Boch.
> Je ne doute pas, donc je ne pense pas. Une tribune libre d'André Bellon.
> La science est-elle sacrée ?. Une tribune libre de Christian Godin.
> Qu'est-ce que la science post-normale ?. Un texte de Giacomo D'Alisa et Giorgos Kallis.

Politiser les nouvelles technologies

> Pourquoi (et comment) critiquer la technologie aujourd'hui ?. Une conférence organisée par la rédaction.
> La technologisation de la vie : du mythe à la réalité. Un article d'Anthony Laurent.
> La technologie est une politique. Une tribune libre de Philippe Godard.
> Aux sources de la mythologie techniciste. Une tribune libre de Daniel Cérézuelle.

Résister au transhumanisme

> Le transhumanisme, entre critiques et résistances. Une conférence organisée par la rédaction.
> "Le transhumanisme, une logique guerrière de l'évolution". Un "Grand Entretien" avec Pièces et Main-d'œuvre (PMO).
> "Abandonner le délire prométhéen d'une maîtrise infinie du monde". Un "Trois questions à..." avec Geneviève Azam.
> Frankenstein et le transhumanisme. Une tribune libre de Brice de Malherbe.
> L'homme augmenté : les dessous d'un mythe. Une tribune libre de Gérard Dubey.
> Pourquoi résister à l'intelligence artificielle. Une tribune libre de Cédric Sauviat.

Choisir la raison

> Choisir définitivement entre l'enfer et la raison. Un texte d'Albert Camus.
> Nuclear Manœuvres in the Dark. Une tribune libre d'Olivier Rey.
> Tchernobyl, Fukushima : les aménageurs de la vie mutilée. Une tribune libre collective.

Se débarrasser du capitalisme

> "Se débarrasser du capitalisme est une question de survie". Un "Grand Entretien" avec Paul Jorion.
> Stop au gâchis humain !. Une tribune libre de Roland Gori et Marie-José Del Volgo.
> L'économie est-elle une science ?. Une tribune libre de Didier Harpagès.
> Pour un droit à la recherche. Une tribune libre collective.

Ecologiser les scientifiques

> "Il faut décoloniser les sciences". Un "Grand Entretien" avec Serge Latouche.
> Les sciences naturelles sont-elles révolutionnaires ?. Une tribune libre de Dominique Bourg.
> "Les climatosceptiques se moquent de la vérité scientifique". Un "Grand Entretien" avec Laure Noualhat.
> Qu'est-ce que l'écologie scientifique ?. Une tribune libre de Vincent Devictor.
> Un ministère pour la transition. Une tribune libre de François Jarrige et Jean-Louis Tornatore.

Imaginer le "monde d'après"

> Terre, planète bleue. Une tribune libre de Hubert Reeves.
> Edgar Morin pense les mots de l'humanité. Un article d'Anna Carbonnel.
> "Il est urgent de repenser nos imaginaires". Un "Grand Entretien" avec Sebastian Vincent Grevsmühl.
> "Oser les indisciplines de l'intuition". Un "Grand Entretien" avec Mohammed Taleb.
> L'intelligence végétale pour repenser (radicalement) notre rapport au monde ?. Une conférence organisée par la rédaction.

SS

Sophie Sainte-Marie Mon 29 Jun 2020 9:06AM

"Alors qu’il y a peu, les ONG environnementales estimaient que sa feuille de route de réduction des émissions de CO2 était impossible à respecter, l’Allemagne est en passe d’atteindre son objectif.

En 2011, lorsqu’au lendemain de la catastrophe de Fukushima, Angela Merkel décida de fermer la totalité de ses centrales nucléaires au plus tard en 2022, nombreux étaient les analystes qui n’auraient pas parié un euro sur la capacité de l’Allemagne à réduire ses émissions de gaz à effet de serre.

Nos voisins d’outre-Rhin, qui pèsent à eux seuls près de 10,3% de la consommation totale d’énergie primaire en Europe, se classent au sixième rang mondial pour les émissions de gaz à effet de serre, avec une part de 2,1% du total mondial.
Le sujet a fait germer de nombreuses rumeurs, notamment celle d’une augmentation inéluctable de la part du charbon dans la production d’électricité, qui aurait dû faire bondir les émissions de gaz à effet de serre du pays." (...)

https://www.revolution-energetique.com/reduction-des-emissions-de-co2-lallemagne-surprend-les-experts/?fbclid=IwAR23o744lGCRcbk4Lkrib7bAS8bFRRT2hKOTbgZHIwCgAv6IsiptSDhNzlk

MF

Marianne Fischman Sun 18 Oct 2020 7:29AM

Lire « la supplication » de Svetlana Alexievitch. Suivre l’actualite : les eaux contaminées de Fukushima vont être rejettes dans le pacifique. Bref : prendre en compte les coûts supportes collectivement par ces choix d’ingenieurs (Quand avons-nous eu une discussion démocratique sur le nucleaire en France ? Pourquoi les essais ont été effectués en Polynésie ?). Etc. Bien à vous. Marianne

MB

Mehdi B. Tue 27 Oct 2020 9:27AM

EDIT : Cette vidéo est plus ciblée sur le nucléaire :


Une vidéo de Osons Causer avec le Réveilleur, ingénieur et chercheur sur les sujet d'énergie et de transition écologique. Très intéressant pour se détacher des amalgames qui ont été fait sur les différentes pollutions et des raisons pour lesquelles certaines choses qui semblent polluantes sont en fait tout à fait recommandables pour répondre à certaines attentes écologiques (notamment le réchauffement climatique).