Très belle lettre
Chères amies,
Comme j'avais des difficultés à communiquer avec les membres de ma famille et avec mes amis sur le sujet du vaccin anti-Covid, je leur ai écrit une lettre dans laquelle je leur explique comment, moi qui étais si favorable à ce vaccin au départ, en suis venue à le rejeter complètement.
Ma lettre s'appuie sur des informations tirées des médias mainstream (Le Monde, Le Figaro, ...) et du site internet de Pfizer. Ce sont des sources que mes amis considèrent comme fiables, vérifiables.
J'ai pensé qu'elle pourrait vous être utile, si, vous aussi, vous présentez des difficultés à communiquer avec eux sur le sujet.
Amicalement,
Mes chers amis, J'ai de sérieuses inquiétudes concernant la vaccination anti-Covid, notamment celle des enfants, des jeunes adultes, et concernant la 3ème dose. Je voudrais vous les exposer. Avant toute chose, sachez que j'ai attendu ce vaccin comme le messie. Quand mes parents (ma maman est médecin) m'ont fait part de leurs craintes sur le sujet, je n'ai pas voulu les écouter. Je leur ai dit avoir confiance en l'OMS, la FDA, l'AEM, l'HAS, l'Académie de Médecine, l'INSERM... Je leur ai dit que la grande majorité de mes confrères étaient favorables à la vaccination, et donc que moi aussi. Comme ils se sont montrés insistants, j'ai même fini par les menacer de ne plus venir les voir. Mais j'ai tout de même préféré jouer la carte de la prudence, car j'allaitais ma petite dernière, et que mes études de médecine m'ont appris que les femmes enceintes et allaitantes doivent s'abstenir de toute médication, sauf si elle leur est indispensable. J'ai donc reporté mon rendez-vous de vaccination, et j'ai commencé à faire des recherches concernant un éventuel passage d'ARNm du vaccin dans le lait maternel. Pendant mes vacances d'été, j'ai lu tous les communiqués de presse du site internet Pfizer, et j'ai lu toute la presse sur le sujet Covid (Le Monde, Le figaro, Les Echos, France Info, ...). Voici ce que j'y ai appris : - Quand vous êtes allés faire vos deux premières doses, les fabricants du vaccin (Pfizer-BioNTech) avaient apporté la preuve que leur vaccin était sûr et efficace, par le biais d'une étude qu'ils avaient menée sur 44 000 volontaires. Vous aviez donc bien fait, d'autant plus qu'à l'époque on pensait pouvoir atteindre l'immunité collective. - Quand vos ados de 12-15 ans se sont fait vacciner, sans bénéfice individuel (le risque pour eux de mourir du Covid est de l'ordre de 1/1 million), mais pour protéger leurs aînés, la tolérance avait été évaluée sur 1131 vaccinés. Cela veut dire qu'un effet indésirable grave d'une fréquence inférieure à 1/1131 aurait pu être manqué par l'étude du fabricant. C'est d'ailleurs la pharmacovigilance, et non le fabricant, qui a mis en évidence les risques, heureusement rares, de myocardite (1 cas sur 37 500 injections), péricardite, paralysie faciale, décès ? (une enquête est actuellement en cours pour rechercher l'imputabilité du vaccin dans le décès d'une lycéenne de 16 ans dans les Bouches du Rhône, victime d'une embolie pulmonaire massive 11 jours après sa vaccination). - Concernant la possible vaccination prochaine de vos enfants de 5-11 ans, sachez que la tolérance a été évaluée par le fabricant sur 1517 enfants vaccinés. Sachez que Pfizer a, dans cette tranche d'âge, baissé la dose à 1/3 de celle des adultes, car "des études préalables avaient montré que la dose entière pouvait provoquer des effets indésirables plus sérieux chez les enfants" (Le Monde, 20/09/21). Sachez que Pfizer avait initialement prévu de demander l'autorisation de mise sur le marché pour les 2-11 ans en septembre, mais que, finalement, les données ne sont pas encore disponibles pour les 2-4 ans. Pourquoi ? Trop d'effets indésirables même à dose réduite ? Cela me rappelle le scandale du vaccin contre la Dengue. - Quand vous irez faire votre 3ème dose, sachez que les fabricants n'ont tout simplement pas publié d'étude pour assurer la sureté et l'efficacité de cette 3ème injection. Ils avaient pourtant annoncé le 28 février dernier qu'ils la débutaient (www.pfizer.fr/communiques-de-presse). Je ne sais pas pourquoi elle a été interrompue. Finalement, j'apprends qu'ils commencent tout juste cette étude, avec une première phase sur seulement 23 participants (The New England Journal of Medicine, 21/10/21). Est-il tolérable que le fabricant n'ait pas eu à apporter la preuve de la sûreté et de l'efficacité de cette 3ème dose avant qu'elle ne soit administrée à des millions de personnes ? Est-il acceptable que l'expérimentation soit menée en temps réél dans la population générale, non rémunérée, et peut-être même non consentante (pression du passe sanitaire) ? Il est important de garder à l'esprit que la technologie ARNm est nouvelle, et que personne ne peut savoir à l'avance comment le cumul des injections va être toléré. La Haute Autorité de Santé nous recommande cette 3ème injection, sur la base de données israëliennes de tolérance observées en vie réelle "quoiqu'encore limitées en termes de recul et du nombre de doses injectées" (HAS, 6/10/21). L'Agence Européene du médicament approuve cette 3ème injection sur la base de données montrant une hausse du taux d'Anticorps, "bien qu'il n'y ait aucune preuve directe que la capacité de produire des anticorps chez ces patients protège contre le Covid-19" (Le Monde, 4/10/21). La Directrice de la recherche et de l'examen du Bureau des vaccins, et le Directeur général adjoint de la Food and Drug Administration (FDA) ont démissionné au mois d'août dernier de leurs fonctions, "officieusement en raison de pressions de leur hiérarchie et de l'administration Biden pour approuver un rappel vaccinal" (Le Monde, 14/09/21). La société Ventavia, spécialiste des essais cliniques et sous-traitant de Pfizer, est accusée par l'ex-directrice régional d'un de ses sites, de négligences multiples concernant l'étude sur les deux premières doses : pas de double-aveugle, dissimulation d'effets indésirables, pas de test PCR chez des patients qui avaient des symptômes de Covid, FDA avertie mais n'ayant pas enquêté, licenciement le jour même de cette personne (British Medical Journal, 2/11/21). Ces accusations sont très graves. Heureusement, le problème ne concernait "que" 1000 des 44 000 participants de l'étude sur les deux premières doses, mais "la sous-traitance de trois autres essais cliniques concernant le vaccin anti-Covid a été confiée à Ventavia : la vaccination des enfants et des jeunes adultes, celle des femmes enceintes ainsi que les tests sur une troisième dose" (France Info, 4/11/21). Exactement les études qui me posent question ! A la lumière de cet inquiétant constat, j'ai fini par m'aventurer sur les sites internet de ceux ayant un avis divergent du Conseil scientifique et du Comité Analyse Recherche et Expertise du gouvernement : Bon Sens, Reinfocovid, France Soir, AIMSIB... Et, loin d'y trouver des affirmations infondées, j'y ai lu des articles très sérieux, bien construits, étayés de nombreuses références scientifiques. Pourquoi l'Agence France Presse les censure-elle ? Pourquoi l'OMS, la FDA, l'AEM, l'HAS, l'Académie de Médecine, l'INSERM, et les Gouvernements ne les prennent-ils pas en considération ? J'aimerais tant qu'il y ait un débat publique opposant les médecins et scientifiques soutenant la stratégie gouvernementale, à ceux qui la rejètent. Je serais si curieuse de savoir comment les premiers répondent aux arguments des seconds ! Sachez que je travaille à faire entendre mes craintes. J'ai envoyé un courrier à un très grand nombre de mes confrères (plus de 1000), détaillant ces éléments, pour connaître leur avis : Professeurs d'Université de tous les CHU de France, Chefs de service de nombreux hôpitaux périphériques, médecins généralistes, pédiatres, cardiologues, pneumologues, infectiologues, médecins internistes, gynécologues, oncologues .... J'ai également prévu d'adresser un courrier aux Présidents des Conseils de l'Ordre des Médecins, dès lors que suffisamment de mes confrères m'auront répondu. Sachez qu'au 15 septembre, plus de 10 000 médecins, pour qui ce métier est probablement, comme il l'est pour moi, toute leur vie, ne souhaitaient pas se faire vacciner. Ils ont été contraints soit de céder à la pression, soit de tirer un trait sur leur carrière et de se passer de leurs revenus. Certains, installés dans des déserts médicaux, ont même dû faire le choix douloureux de laisser leur patientèle sans médecin. Mes chers amis, dans ce climat hostile aux opposants à la vaccination, la décision de vous écrire cette lettre m'a été très difficile à prendre. Mais ma conscience me l'imposait. J'espère être parvenue à vous montrer que quelque chose "cloche". J'espère que vous comprendrez pourquoi je mène ce combat. Si c'est le cas, lisez cet article, même s'il a été publié dans un "mauvais" journal. Je vous embrasse.
Nous ne sommes pas "anti-vax", nous sommes "anti-spike" ! Publié le 12/10/2021 à 18:27 - Mise à jour le 13/10/2021 à 07:58 Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Pr Jean-Paul Bourdineaud, pour FranceSoir Cet espace d’opinion permet la libre expression des idées et d’engendrer le débat. Les articles et vidéos publiés dans cette rubrique peuvent parfois ne pas faire consensus, en savoir plus → TRIBUNE — Le médecin et sénateur Alain Houpert a décrit la situation de manière intéressante : « les médecins prescrivent des médicaments ». Ils le font en vertu de leur serment d’Hippocrate et selon l’article R.4127-34 du Code de la santé publique ; « le médecin doit formuler ses prescriptions avec toute la clarté indispensable, veiller à leur compréhension par le patient et son entourage, et s'efforcer d'en obtenir la bonne exécution. » En fait, hormis ceux qui font de la recherche universitaire ou qui lisent les recherches, ce ne sont pas des scientifiques, ils ne sont pas chimistes, biochimistes, toxicologues, virologues, immunologues ou spécialistes de pharmacovigilance. Ils ne découvrent pas ou n’inventent pas les médicaments, ni ne décrivent leur fonctionnement à l’échelle de la cellule. Ils ne sont donc pas à même d’interpréter en pleine connaissance les tenants et les aboutissants des nouveaux vaccins ARNm et ADN, notamment en matière d’efficacité et de toxicité à court comme à long terme. La vision suivante est celle partagée par de nombreux spécialistes biochimistes et toxicologues. Les vaccins à ARNm (Pfizer, Moderna) et ADN (Sputnik, AstraZeneca, Janssen) sont intéressants comme technologie, bien que l’on manque de recul (qui demande des décennies d’utilisation) sur leur innocuité sur l’organisme humain. En effet, ils utilisent la machinerie cellulaire (infiniment complexe et réglée par de nombreux équilibres) pour faire produire au corps humain une protéine (antigène) qui induit une réaction immunitaire de nos globules blancs (lymphocytes), afin de faire fabriquer des anticorps ensuite capables de nous défendre contre l’agression d’un virus. Dans le cas de cette pandémie, contre le Sars-CoV-2 et potentiellement ses variants. Admettons que, malgré notre faible expérience en la matière, le principe de ces vaccins ne soit pas toxique pour l’être humain. La question centrale demeure : quelle est la protéine qui va être produite par cet ARNm ou cet ADN et quel est l’effet de cette protéine sur l’organisme humain ? C’est la seule question qui compte. Dans le cas de tous ces vaccins, c’est la protéine de pointe (dite spike) qui est produite, celle qui donne d’ailleurs au virus son nom de corona (couronne). Ces injections ont donc pour effet de produire des anticorps dirigés contre la protéine spike, qui vont nous protéger contre une infection par reconnaissance de la protéine spike sur le virus et élimination de ce dernier. Cela étant, c'est surtout vrai pour le Sars-CoV-2 de 2020, avec lequel ces vaccins ont été fabriqués, plutôt que les variants actuels et à venir. Nous ne le nions pas et les anticorps produits sont efficaces quelques mois (de deux à huit mois). La question clé devient alors : bien que la fabrication d’une grande quantité (incontrôlée) de spike produise une immunité, quel est le revers de la médaille ? Quelle est la sécurité de cette protéine, qui passe dans la circulation sanguine et atteint tous les organes, dont le cerveau ? Eh bien, c’est là que réside le problème de ces vaccins : la protéine qu’ils fabriquent est aussi toxique que la protéine spike du virus. En effet, l’ARNm ou l’ADN reproduit exactement tout ou partie de cette protéine spike du virus. Il a été démontré que cette protéine vaccinale se retrouve en grande quantité dans la circulation sanguine et se fixe sur les mêmes récepteurs que le virus. Or, dans le covid-19, c’est en se liant aux récepteurs du virus (appelés ACE2) que le Sars-CoV-2 dérègle l’immunité et induit des réactions inflammatoires, aboutissant aux problèmes de coagulation, voire à la mort, dans les formes les plus graves. Cette implication de la protéine spike est décrite dans des milliers de publications et nous en avons fait une synthèse dans un article contenant plus de 100 références : une vision globale de la biologie du SARS. C’est bien la même protéine inflammatoire du virus (toxique en particulier pour les diabétiques, les personnes âgées, les hypertendus) qui est produite après infection du covid-19 ou qui est reproduite par la vaccination, dans tous nos organes. C’est donc la toxicité de la protéine spike des vaccins qui aurait dû être le centre des études de toxicité, et non seulement l’ARNm ou l’ADN. Dans le document de l’EMA (ou de la FDA) sur les vaccins Pfizer par exemple, on ne parle que de la répartition de l’ARNm dans le corps, pas de la distribution ni de la toxicité de la protéine spike. C’est inacceptable et cette agence n’a pas fait son travail sérieusement. Les molécules les plus toxiques rencontrées dans la nature sont des protéines : ricine, toxine botulique ou encore toxine de serpents (hémotoxines). On entend souvent : cela fait des décennies que des chercheurs travaillent sur l’ARNm dans les vaccins ! Mais si on vous injectait de l’ARNm produisant une toxine de crotale dans l’organisme, vous donneriez votre accord ? Non ! Alors vous êtes "anti-vax"... Eh bien non, c'est un peu cavalier, vous êtes simplement "anti-venin de crotale". On ne peut donc nous reprocher d'être "anti-vax" ! En revanche, nous sommes "anti-spike", parce que cette protéine est toxique : elle induit de l’inflammation (d’où les myocardites), de la coagulation (d’où les thromboses), de l’hypertension (le récepteur ACE2 de la protéine spike régule la pression sanguine), et tous les effets secondaires graves pourraient être expliqués, y compris les symptômes dépressifs postvaccination (ou covid-19), car la protéine spike peut aussi induire la diminution de la concentration de sérotonine (hormone de la bonne humeur) dans le cerveau. C’est pourquoi nous demandions et demandons toujours des vaccins entiers aux protéines désactivées, sans nous opposer à la vaccination, notamment dans une lettre d’information à l’attention des sénatrices et sénateurs. Ou alors, des vaccins ARNm ou ADN produisant une protéine immunogène mais non toxique. Pour ces raisons scientifiques sur la sécurité des vaccins (en plus des raisons démocratiques), et leur manque d’efficacité (aujourd’hui bien établi) en particulier dans le blocage de la transmission du virus, nous faisons appel à votre bon sens et votre réflexion pour vous opposer à l’obligation vaccinale, en raison d'une balance bénéfice/risque nettement défavorable, en particulier chez les moins de 40 ans. Jean-François Lesgards est docteur en biochimie et Jean-Paul Bourdineaud est professeur des universités, docteur en microbiologie et toxicologie environnementale Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Pr Jean-Paul Bourdineaud, pour FranceSoir
Maly Sun 28 Nov 2021 7:59PM
Qu'en pensez vous?
Brice Mon 29 Nov 2021 9:21AM
> C’est pourquoi nous demandions et demandons toujours des vaccins entiers aux protéines désactivées
La société Valneva va produire un tel vaccin.
A virus inactivé, classique, "à l'ancienne".
Prévu pour l'automne, il ne sera disponible qu'en avril 2022.
En France on va enfin produire un vaccin classique efficace contre les variants... en Ecosse. Une histoire qui en dit long sur la dégradation notre pays :
Pas avant la fin de l'année :
Finalisation du recrutement pour l’étude pivot de Phase 3 du candidat vaccin inactivé contre la COVID-19, VLA2001
Résultats initiaux de Phase 3 désormais attendus au début du quatrième trimestre 2021
VLA2001 est actuellement le seul candidat vaccin à virus entier, inactivé et adjuvanté contre la COVID-19 en développement clinique en Europe.
(...) une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pourrait lui être accordée d'ici la fin 2021.
La livraison du vaccin est actuellement prévue pour avril 2022, s'il obtient l'accord de l'Agence européenne du médicament (EMA)
Raphaële Mon 29 Nov 2021 2:30PM
Merci d'avoir fait ce courrier, perso aussi j'ai du mal parfois à expliquer mon choix surtout lorsque la réaction en face est agressive .
Maly · Sun 28 Nov 2021 7:41PM