quelques pistes concernant médias
LA LIBERTE DE LA PRESSE.
CONSTATATIONS
On sait aujourd’hui que la plupart des organes de presse de masse sont entre les mains d’une poignée de milliardaires, et que tous pratiquent non plus de l’information, mais une propagande et un formatage à grande échelle.
Le souci, en plus de violer le principe de séparation des pouvoirs entre les puissants et les médias, pourtant hérité du CNR (conseil national de la résistance), et qu’un certain Baladur à fait sauter lors de son mandat.
C’est que la désinformation massive finit par avoir un effet catastrophique sur le gens, sur leur manière même de penser, et qui finit inévitablement par devenir irrationnelle.
A force de leur mentir et de les manipuler, par des techniques toujours plus évoluées
soit les gens ne croient plus en rien et s’émancipent des règles du système, d’où un accroissement de la délinquance,
soit ils deviennent physiquement et/ou intellectuellement malades, au point de croire n’importe quoi, de pure fake news ou des complots.
Ces mensonges, ces manipulations, cette désinformation, finissent par créer soit des dissonances cognitives graves, soit un extrémisme toujours plus important. Et ce stress finit également par affecter les capacités intellectuelles, et donc la productivité, les résultats individuels de chacun au travail.
Cette insécurité informationnelle, les gens ne pouvant plus se fier à rien, en bout de chaîne, ne profite qu’aux politiques, et aux industriels qui soignent ou accompagnent ces troubles. Alors même que leur travail est pourtant de tout faire pour les en protéger.
On peut donc parler ici de haute trahison, car en plus de ne pas protéger les gens, on exploite les peurs et les phobies que l’on a soi-même insufflé par les mensonges (désinformation) et la manipulation continuelle.
SOLUTIONS
Deux choses sont alors à mettre en œuvre pour faire cesser ces agissements.
La première, c’est que les sociétés de presse ne puissent plus être la propriété de riches industriels, autrement que dans leur branche spécifique. C’est un retour simple aux dispositions du CNR, et de la cinquième république avant que d’habiles menteurs et manipulateurs réussissent à faire sauter ce verrou. Le moyen le plus simple est que la moitié des actions de ces entreprises soient attribuées aux journalistes eux-mêmes, et que la seconde moitié soit détenue par des investisseurs privés. Aucune subvention possible de la part de l’Etat.
La deuxième, c’est d’imposer par voie constitutionnelle l’obligation de respecter la charte de Munich du journalisme, avec de lourdes sanctions financières (amendes), comme la fermeture temporaire d’un média, sa mise sous tutelle, et le retrait pur et simple de la carte de presse pour les contrevenants. Cela n’empêchera en rien le biais idéologique, mais les mensonges et la désinformation seront lourdement sanctionnés.
On pourrait ajouter un dernier point. Soit que la presse ne pourra plus commenter les affaires judiciaires qui n’auront pas été définitivement jugées. Et ce, afin de ne pas pouvoir influer sur son cours, et respecter la présomption d’innocence. Ils ne pourront qu’indiquer et éventuellement commenter la décision «finale», c’est-à-dire les décisions sans recours possible, dites «définitives».
En ce qui concerne la liberté d’expression par voie de presse, et notamment sur Internet, on peut agir radicalement et de trois manières:
Ne plus laisser au procureur la possibilité ou non de poursuivre si les faits sont «avérés». Tout signalement justifié sur Pharos devra aboutir obligatoirement à une poursuite et une condamnation. Et notamment pour les injures et la diffamation. Certaines entreprises et certains lobbys politiques utilisent des robots ou des armées de trolls pour infester les commentaires de propagandes souvent diffamatoire, injurieuse, et donc illégale. Et ils se cachent tous dans des endroits inaccessibles à la justice. Il faudra donc mettre en place un système d’identification et de blocage de ces entreprises et procédés radicaux.
Identifier et empêcher des gens avec des troubles mentaux «avérés» et «identifiés» d’avoir accès au moindre média de masse, à commencer par Internet. D’une part, car certaines entreprises se servent de ces profils prédateurs pour des buts commerciaux ou politiques, et que cela constitue donc un abus manifeste de faiblesse sur personne vulnérable. Et d’autre part, parce que ces comportements sociopathiques ont des conséquences évidentes sur le moral des victimes, et plus généralement sur les gens qui ont à les subir.
Ne plus autoriser l’envoi de messages anonymes sur des forums, par exemple avec la création d’un identifiant unique et nominatif, avec toutes les coordonnées visibles des gens en ligne. L’argument fallacieux qui consisterait à dire que ce serait une forte limitation de la liberté d’expression, est totalement trompeur. En public, on doit avoir un comportement légal et exemplaire. Se cacher derrière un pseudo pour commettre des actes répréhensibles ne doit plus être admis. Et le fait d’être clairement identifié et identifiable, notoirement dissuasif de commettre toute infraction à la loi. En réunion privée ou en privé, on pourra toujours dire ce que l’on pense, et cette limitation ne concernera que les médias de masse. Le but est que publiquement, on ne pourra plus dire n’importe quoi et n’importe comment, car on devra immédiatement en subir les conséquences.
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